Médaille en bronze célébrant le 75e anniversaire de la Compagnie des Mines de Courrières 1852-1927 par A.Mayeur. Sur le recto, on trouve une représentation de mineur à l'abattage à côté d'une lampe et d'une berline. De part et d'autre, des outils de mineur, les dates de la compagnie et son monogramme. Au verso, une vue aérienne d'une fosse de mine est représentée avec en dessous un médaillon avec la figure de Sainte Barbe et l'inscription " Compagnie des mines de houille de Courrières".

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noircissement, choc,

2022.11.1

610 (Ancien numéro)

Médaille de forme circulaire. Avvers : Groupe de onze personnages dont un tenant un parchemin, un autre assis signant le parchemin. Il s'agit des fondateurs le Prince de CROY,le Vicomte DESANDROUIN, les Marquis DE CERNAY, DE TAFFIN et leurs associés Revers : Sur le fond de la Fosse Arenberg, un mineur debout tenant une lampe à flamme dans la main, l'autre s'appuyant sur un pic, derrière un galibot poussant une berline

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75.3752

1942 (Ancien numéro)

Médaille rectangulaire éditée en 1929 par la Société des Mines de Lens pour commémorer la fin des travaux de reconstruction après les dégâts de la Première Guerre mondiale. L'avers est composé d'une représentation d'un mineur à l'abattage dessinée par Oscar Roty pour la médaille de 1899. Le revers est composé d'une vue du chevalement du puits n°3 bis avec des ruines au premier plan. Cette face est dessinée par Hippolyte Lefebvre.

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oxydation

77.3751

032 (Ancien numéro)

Cloche "Eléonore" produite par le fondeur Regnaud. Elle a été installée dans le clocher de l'église d'Anzin en 1789. Abîmée par l'artillerie allemande en 1918, elle a été ensuite transférée aux Ateliers centraux des mines d' Anzin.

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chocs sur le pourtour de la bouche, fente et 10 trous liés aux obus de 1914-1918, traces blanches sur blason et inscriptions, oxydation sur la partie supérieure.

72.4728

la cloche dite "Eléonore" était installée dans le clocher de l'église d'Anzin en 1789; abîmée par l'artillerie allemande en 1918, elle a été ensuite transférée aux ateliers centraux des mines d' Anzin. Cloche a été bénite en l'an 1789 et nommée Eléonore par M.D. Maximilien Anquet Abbé d'Asnon seigneur du village d'Anzin et par Mme Magdelène Eléonore Joseph Hamoir Mathieu de Quenvignies épouse de Messire Jean Léonard Mathieu de Quenvignies écuyer inspecteur des mines de France directeur et intéressé dans les mines de charbon d'Anzin, Fresnes et Vieux-Condé

Médaille en bronze de l’Institut national de recherche et de sécurité, éditée par l’Hôtel de la Monnaie de Paris à l’occasion du 40ème anniversaire de la Caisse Autonome Nationale de la Sécurité sociale dans les mines. L’avers de cette médaille présente un décor du graveur George Lay figurant un ange accueillant dans ses bras un ouvrier et un ingénieur. Sur le pourtour figure l’inscription « Institut national de recherche et de sécurité ». Le revers est illustré d’une représentation d’usine placée au-dessous d'une première inscription : " Pour un travail plus humain et plus sûr", ainsi qu'une seconde sur le pourtour : " la Sécurité sociale au service de la prévention ".

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rayures

2010.11.2

Lampe à huile à lanternon à suspendre. Elle comporte un bec long et un orifice de remplissage. Un appendice percé, situé à la base de la lampe, permettait de suspendre un godet destiné à récupérer l'huile coulant de la mèche. L'intensité lumineuse correspondait à 1/4 de bougie, la durée d'éclairage à 2 heures environ. Il est peu probable que ce modèle soit descendu au fond des mines et soit produit par Cosset-Dubrulle.

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rayures

Cosset-Dubrulle n'est sûrement pas le fabricant. Aucune production connue de ce modèle de lampe chez ce fabricant.

99.10976

On utilisait la lampe à lanternon comme lampe perpétuelle, pour brûler le grisou.